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Catherine Larouche

Catherine Larouche

Catherine Larouche

« Pour moi, tout est une question d’art.  L’art a envahi mes jours et ma perception du monde. Par les saveurs de ma cuisine, par le choix de mes vêtements, par l’émotion de mes photos. Je peins, je dessine. Parfois du matin au soir. Comme un appel de l’âme, dans un excès de passion et de création ». Catherine a un style qui lui est propre. Jonglant entre le réel et l’abstrait, elle peint selon ses désirs, ses émotions et ses sentiments. Elle préfère être dirigée par ce qu’elle ressent plutôt que d’adhérer à un style qui tuerait sa créativité.

Ses peintures sont remplies d’énergie, d’explosion.  L’œuvre doit avoir une âme et une histoire en soi. « Je n’ai jamais peint juste pour peindre. Je jette mes émotions, mes joies, ma colère et ma rage. Chaque œuvre est une partie différente de moi. Ce sont les pièces d’un énorme puzzle, de ma vie et de mes sentiments. » Elle expérimente des œuvres multimédias vibrantes et à grande échelle, incorporant différents médiums et textures.

Son travail est parfois doux, parfois provocateur, et pour la plupart, énigmatique et rempli de mystère. Cette artiste talentueuse peint et dessine depuis l’enfance. À l’âge de 13 ans, elle dessinait déjà des portraits réalistes étonnants et remportait plusieurs concours et prix. « J’ai réalisé, très jeune, que lorsque je dessinais des bandes dessinées, des voitures et même des portraits, j’avais quelque chose de différent. Dès ce jour, je savais que je voulais vivre cette passion ». Kate a remporté différents prix et a fait l’objet de nombreux éloges à travers le monde, que ce soit à Montréal, à Vancouver, en Californie, à Hawaï, en Italie et même au Japon.  Son art est également paru dans différents magazines internationaux et certains de ses dessins ont été utilisés dans la publicité officielle du championnat mondial de la PGA il y a quelques années.  Elle a la chance de travailler et de rencontrer certaines des personnes les plus célèbres dans le monde entier.

« Si on pouvait le dire avec des mots, il n’y aurait aucune raison de peindre ».  – Edward Hopper